On parle souvent de bonnes pratiques à appliquer en termes de leadership. S’il est essentiel d’en connaître les axes d’amélioration, il est aussi indispensable d’identifier les mauvaises pratiques. Celles qui sont à bannir, au risque de présenter des incohérences managériales et d’affecter ses équipes et ses projets. Voici 19 pratiques de non-leadership à proscrire, si ce n’est pas déjà chose faite !
Qu’est-ce que le non-leadership ?
Faire preuve de non-leadership, c’est adopter des actions ou comportements qui vont à l’encontre du développement, de la cohésion et de la performance d’un groupe. Au lieu d’encourager les équipes à donner le meilleur d'eux.elles-mêmes et de révéler le potentiel de chacun.e, les pratiques de non-leadership vont impacter négativement leur bien-être et leurs résultats.
19 pratiques de non-leadership à exclure définitivement de son management
- Casser les engagements collectifs et renégocier 1 à 1 pour avoir un meilleur deal ;
- Jouer l’intimidation et agir comme si « rien ne s’était passé » ;
- Agir dans un mode à sens unique et jamais dans une logique +/+ ;
- Attaquer tous ceux qui ne vont pas dans « son sens » ;
- Réécrire l’histoire ;
- Rejeter la responsabilité des mauvaises nouvelles ;
- Blâmer ;
- Ne montrer aucune empathie ;
- Jouer les uns contre les autres ;
- Porter des jugements de valeur en public ;
- Être vague dans ses promesses et arguments ;
- Terminer les conversations lorsqu’elles ne vont pas « dans son sens » ;
- Traiter ses prédécesseurs d’incompétents ;
- Colporter des informations erronées ;
- Ne jamais admettre ses erreurs ;
- Changer les messages et nier les précédents ;
- S’auto-féliciter publiquement ;
- Mentir et transformer les faits.
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